Forum RPG participatif – CITY réaliste – Ville inventée en Caroline du Nord (inspirée de Wilmington) – Époque actuelle – Avatars illustrés & réels – Pas de minimum de lignes – Discord accessible uniquement dans le cadre de soirées organisées par le staff.
Adrian P. Davis - La peur mène à la colère, la colère à la haine, la haine à la souffrance. [100%]
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Profil
Description
Physique
Lorsqu’il franchit les portes du bar de l’Oasis, il n’y a pas un seul client. Il précède un autre candidat au poste à l’air innocent, remplis de bonnes intentions et l’envie de bien faire pour son premier job. Mais la jeunesse, aussi gratifiante peut elle être, n’est pas assez suffisante pour un employeur. Un employeur doit voir à long terme. Un jeune salarié est un salarié qui migre. Passé un certain âge, la trentaine par exemple, on s’attend à une certaine stabilité.
Surtout quand le futur employé n’a rien à perdre, mais tout à gagner.
C’est ce que Bianca a découvert, cet après-midi. Elle le voit marcher en sa direction, l’homme prenant pleinement possession de l’espace. Il ne semble pas plus vieux qu’elle, allez cinq ans de plus, peut-être ? Le temps marque légèrement ses traits, comme tout être humain, avec quelques ridules autour de ses yeux bleu en forme d'amande. Ce qui semble le figer dans une période juvénile et innocente, c’est son sourire. Même petit, il illumine ses traits, plissant ses yeux lorsqu’il entend la voix chantante et chaleureuse de la gérante de l’établissement. Leur regard se croise, le temps d’une introspection évidente de la part de la maîtresse des lieux.
Ils se sont eus au téléphone. Mais lorsque sa voix résonne à nouveau pour s’annoncer :
— Bonjour, Adrian. On s’est eu au téléphone pour le poste de barman et serveur.
… elle ne peut s’empêcher d’apprécier le grain chaleureux qui s’en échappe. Sa voix n’est pas des plus graves, mais on peut facilement deviner que son rire est cassé, remplie de nuances. L’homme est grand. Un mètre quatre-vingt huit. Un sacré monsieur. Ses avant-bras sont dénudés de tissus ; il a relevé les manches de son sous-pull olive, laissant une peau légèrement hâlée s’en échapper, dépourvu d’encre. Elle peut deviner des bras plutôt musclés, rien de ce qui semblait être à l’époque de l’armée, mais toujours bien présents et suffisamment décourageant pour le moindre alcoolique.
Ils s’asseyent, et pendant le déroulement du processus de recrutement, Bianca dévisage le blond. Ses boucles encadrent son visage anguleux, marqué par une cicatrice reçue lors de son service militaire. Ses yeux, bien que bleus, semblent toujours assombris, sauf lorsqu’il regarde par la fenêtre, leur donnant une belle couleur limpide. Il porte autour de son cou son collier de matricule de l’armée. Elle n’est pas allée spécifiquement loin dans le processus qu’elle se sent rassurée. Son quatrième candidat serait peut-être le bon ?
Caractère
— Bon, j’ai lu ton CV - ici on se tutoie, c’est familial papi -, t’as pas beaucoup d’expérience…
— Non, mais j’assimile vite. J’ai dû apprendre la liste d’artillerie en très peu de temps pour faire les inventaires, je maîtrise rapidement les gestes mécaniques. Je suis vif, réactif et surveille mon environnement. Et en plus, je suis plutôt charismatique et beau gosse, un atout indéniable dans un bar, paraît-il.
La Capverdienne ricane, et rétorque :
— C’est bien d’être sur de soi, tu seras pas surpris de savoir que ça fait partie du métier de la nuit de flirter un peu avec les clients… Mais attention à ne pas franchir la ligne. On ne couche pas avec les clients, aussi charmants soient-ils. Il faut trouver l’équilibre raisonnable.
— C’est noté.
La Capverdienne sourit, avant de poursuivre :
— T’as fait pas mal de postes pendant l’armée, je vois… des missions avec des compétences transversales, c’est plutôt cool. Comment tu gères le stress, de manière général ?
— Relativement bien, j’ai fait plusieurs opérations en extérieur et sur place qui requièrent du sang froid. J’ai géré plusieurs petites équipes à mon actif, aussi.
— Ok, intéressant… Ici, c’est tolérance pour tout le monde, pas de différence dans le traitement des uns et des autres. On est tous égaux. Un souci avec des minorités de genre, d’orientation sexuelle ou d'ethnicité ? Sachant que ce serait mal avisé pour le dernier point, si tu vois ce que je veux dire.
— Pour le coup je pense que je vois très bien ce que tu veux dire… quoi que, tu me mets le doute , hésite-t-il faussement en fronçant les sourcils.
— ... Un petit rigolo, en plus de ça !
Il ricane silencieusement, étirant un petit sourire narquois.
— Il n’y aura pas de soucis là-dessus. Je comprends les problèmes qu'il peut y avoir dans un bar, et je veillerai à ce qu'il n'y ait pas de débordement.
— J’apprécie que tu le mettes en avant, parce que je ne peux pas avoir les yeux sur tout à tout instant. Certaines injustices peuvent arriver et les filles n’osent pas spécifiquement venir vers moi pour faire remonter le problème. Peut-être qu'une présence masculine saura dissuader les autres hommes...
Elle balaye un peu le CV.
— Bon, je pense que je vais te tester un peu.
**
30/03/2024
— Un Cuba Libre, s’te plaît, s’exclame une voix par-dessus le comptoir.
Les airs de musiques latines retentissent, faisant danser une majorité de la clientèle, ce qui les attire sans surprise au bout d’un certain temps vers le comptoir. Une petite semaine que la nouvelle tourne dans les rues commerçantes de Shorefield : l’Oasis a recruté son nouveau barman / agent de sécurité en cas d’extrême nécessité. L’oisiveté et la gaieté qu’éveillent les musiques latines rend l’ambiance du bar convivial, électrique et vivant.
— Ok, cariña, j’te prépare ça, s’exclame le châtain en attrapant un verre à cocktail, ainsi qu’une bouteille de rhum et de coca.
La jeune fille se tourne vers ses comparses, extatique à l’idée que le beau trentenaire lui ait adressé un petit surnom hispanique et un regard maintenu un peu plus longtemps que la moyenne. Il prépare sa boisson lorsqu’apparaît à ses côtés la gérante, un sourire dubitatif ornant son visage. Adrian remarque le sourire et s’esclaffe :
— Qu’est-ce qu’il y a ?
— T’es trop fort à ce jeu.
Il secoue sa tête de gauche à droite en s’esclaffant.
— Je t’ai dit que j’apprenais vite !
—Ouais, bah attention ! Je veux que mes clientes habituelles reviennent.
— T’inquiètes, j’ai compris le truc de la “limite à ne pas franchir” !
— Mouais, casanova. Va encaisser la cliente, et arrête de faire le gars du cirque avec les cocktails… Tu vas me faire racheter tout un stock de verres.
— Ok !
C’est vrai qu’il était sacrément fort à ce jeu là. Peut-être parce qu’à son échelle, il peut agir sans être bridé par une autorité sans nécessairement agir comme un anarchiste. Bianca semble ravie, d’autant plus qu’il donne un sacré coup de boost à son activité. Mais quelque chose vient ternir son beau tableau.
— J’te dis, c’est Adrian.
— La vache, la taillade… réplique un gars, pas très loin de la tenancière.
— Ca me rappelle la fois où il s’est jeté sur Justin en cours de science, le bescher avait éclaté dans toute la salle de classe.
— Ah ouais ! C’était la fois où il avait dit qu’Isaac était un gros lard.
—Ben, tu sais quoi ? Apparemment, il a été viré de l'armée pour insurrection face à l'autorité... Il aurait cassé la gueule à son adjudant chef.
— Mais arrête, n’importe quoi. Il serait pas là, sinon.
— Ben en tout cas, il a une ordonnance chez l’osthéo de la Cape Fear pour une luxation à l'épaule qu'il se serait faite lors d'une opex... Une Opex en France.
— Hey, interrompt Bianca, faisant sursauter les deux hommes, si vous voulez continuer de consommer tranquillement dans mon bar, je vous conseille de fermer votre boîte à camembert. Ou j’appelle vos femmes, choisissez.
Penauds, les hommes cessent leur commérage, laissant la Capverdienne seule à seule avec ses réflexions. Elle pose à nouveau son regard sur l’ex-militaire, discutant avec quelques clientes, un verre à la main et un linge dans l’autre. Lorsque leur regard se croise, elle lui adresse un geste de la main, resté en suspens.
Elle va devoir tirer cette affaire au clair, et elle espère que ce soit moins pire qu’elle ne le pense.
***
Arrogant - Narcissique - Taquin - Malicieux - Chaleureux - Emotif - Juste - Intuitif - Courageux - Téméraire - Susceptible - Têtu - Confiant - Audacieux - Imprudent - Impatient - Volontaire - Contestataire - Volonté de grandir
Histoire
SSN : 148-27-5140
GRADE / RANG : E-3 PFC - Caporal
ORGANISATION : Armée de terre
DATE DE NAISSANCE : 14/11/1994
ÂGE : 29 ans
TAILLE : 1m88
POIDS : 90 kilos
CHEVEUX : Blond châtain
YEUX : Bleus gris
GROUPE SANGUIN : B+
DATE DU DERNIER RANG : 5/10/2020
RELIGION : Athé
ADRESSE : 209 North 2nd Street, Shorefield, Caroline du Nord, États-Unis
MARIÉ : NON
ENFANTS : NON
PARENTS
PÈRE : Kenneth Richard DAVIS (03/08/1955 - 28/12/2018)
MÈRE : Deborah Janet DAVIS, nom de jeune fille MILLER (14/04/1961)
FRÈRE : Scott Douglas DAVIS (15/02/2000)
ADRESSE : 329 Spartan Road, Shorefield, Caroline du Nord, Etats-Unis
MOTIFS DE RUPTURE DU CONTRAT :
- Instabilité articulaire de l’épaule droite suite à OPEX
ANTÉCÉDENTS DES SANCTIONS :
1 blâme suite à insurrection et résistance face à l’autorité du Sergent Major (2019).
MISES À DISPOSITION :
- Indemnité chômage
- Action sociale des armées
- Défense mobilité
- Accompagnement psychologique
***
Un mal pour un bien. Une quête difficilement entamée pour l’ancien militaire dont l’ego ne lui a pas permis de commencer ce qu’on lui a demandé de faire. Mais aujourd’hui, après un énième constat, il se prépare à son rendez-vous. Adrian a fait plusieurs tentatives d’entretiens psychiatriques ces derniers mois. Et un énième rappel de son conseiller de transition lui rappelle que ses indemnités risquent de vite s’arrêter s’il ne s’applique pas à honorer ses engagements. Il entre pour la première fois dans un bureau de psychiatre. Dans son imaginaire, il s’attendait à une pièce aux couleurs sombres, ou atrocement délavées. Mais celui du Dr. Polianski a quelque chose de foncièrement chaleureux. Sans artifice, uniquement le soleil traversant, baignant la pièce d’une couleur douce et rassurante. Pas de phrases bâteaux du genre + = +, uniquement des portraits simples, quelques bouquins écrits par des noms somme toute de grande renommée. Les couleurs sont écru, ocre avec quelques touches de métal noir. Les yeux de l’ancien caporal balayent la pièce. En un an, c’est le seul endroit dans lequel il n’éprouve pas l’envie fulgurante de casser une vitrine pour s’enfuir le plus loin possible. La professionnelle semble également celle qui se rapproche le plus d’un être humain que d’un simple analyste psychiatrique. Le visage pâle parsemé de taches de rousseurs, habillé d’une paire de lunettes tellement épaisses qu’il a l’impression d’être face à Clark Kent du metropolis, deux chignons attachés avec flegme, et l’accoutrement d’une fille tout droit sorti d’une publicité Instagram sur une marque de cosmétique pour millenials. Jeune diplômée, sûrement. Un perte de temps, pense-t-il dans un jugement hâtif, peu convaincu de la qualité de l’échange. Elle écrit quelques phrases dans son carnet, et il devine son dossier grand ouvert sur son bureau, notamment quand il reconnaît les photographies des radios de son épaule. Adrian s’enfonce dans son siège, faisant crisser le cuir entre ses mains et son dos. La psychiatre relève ses yeux, suspendant son geste quelques instants avant de rabattre la couverture de son carnet pour s’emparer du dossier militaire du châtain.
— Bien, Adrian. Quatre rendez-vous ratés en six mois, ça fait beaucoup de confrères sollicités pour rien, aucun d’entre eux ne vous convenaient ?
La voix de la psychiatre est fluette, confirmant l’hypothèse du jeune âge de la professionnelle. Il ne prend pas au sérieux l’échange.
— Je suis du genre difficile, confesse-t-il en étirant un léger sourire en coin. J'étais pas dans un mood de rencontre ces derniers temps.
Elle sourit, et la forme de ses yeux ronds tombants se plient en une demi-lune amusée qu’il ne peut déceler derrière le double vitrage de ses verres correcteurs.
— ... Ravie de voir que vous êtes dans un bon mood.
Le châtain hoche la tête sans se départir de son sourire. La blonde continue :
— Adrian Paul Davis, originaire de Shorefield, né de deux parents américains Kenneth et Deborah, vous avez un petit frère répondant au nom de Scott, diagnostiqué à l’âge de six ans de troubles neurodéveloppementaux. Tout comme votre père, vous avez suivi un parcours militaire dès l’obtention de votre Bachelor du lycée de Shorefield.
— Vous avez bien fait vos devoirs, vous pourriez presque écrire ma page Wikipédia.
— Je pourrais, oui. Mais il me faut plus de… Substance, pour ainsi dire. Elle feuillette le dossier. ... Quels sont vos rapports avec votre famille ?
— Ah, on attaque direct.
Adrian se redresse. La question ne le surprend pas. Toutefois, il pressent que l’approche de la jeune psychiatre ne sera pas… Habituelle, dans son milieu professionnel. Il se prend un temps à la réflexion, se passant distraitement les doigts sur ses lèvres.
— Je ne suis pas spécialement proche de ma famille... Mon père est décédé il y a quelques années. Mon frère… Nous nous entendons. On est pas copains comme cochon mais s’il a un souci, je serai là pour lui.
— Étiez-vous proche de votre père ?
— J’étais proche de lui… jeune. En grandissant, nos rapports se sont quelque peu, il semble hésiter sur le terme à employer, étiolés.
— ... Est-ce une chose que vous regrettez, aujourd’hui ?
Il souffle après une brève réflexion.
— ... Je ne pense pas que nos rapports auraient pu s’améliorer avec le temps.
Elle griffonne quelque chose sur son carnet, tandis qu’Adrian masse sa tempe. C’est vrai qu’il n’est pas vraiment du genre famille, il ne les déteste pas mais il ne se sent pas particulièrement attaché à eux. Il n’a guère le temps de ressasser ses souvenirs que la psychiatre enchaîne :
— Je m’appelle Beth. Je ne me suis pas présentée.
— Enchanté, Beth.
Il y eut un moment de flottement, durant lequel, d'un commun accord, les deux individus se dévisagent, comme pour prendre pleinement conscience de l’existence de l’un et de l’autre. Beth incline son visage, incitant son patient à s’exprimer sur le sujet.
— Votre père… comment était-il ?
— C’était un monsieur… Très « cartésien ». Du genre « les choses sont faites ainsi, et j’ai raison ». Il avait une vision de la vie très arrêtée, très « Rambo ».
— Et vous ?
— Moi ? À peu de choses près je suis pareil, mais je suis plus… expressif, on va dire ? Mon père l’était moins.
— Est-ce qu’à cause de ça, vous aviez l’impression qu’il ne vous aimait pas ?
— … Ce n’est pas ce que je dis. Il semble surpris de la question qui sonne comme une affirmation, mais il se reprend : Mon père m’aimait, c’est certain… mais …
Il s’interrompt, rapidement. Beth hausse ses sourcils, surprise de voir que son patient bride ses pensées et paroles.
— Je suis tenue sous le secret médical, Adrian. Tout ce qui entre ici ne ressort pas.
Il fronce ses sourcils. Il n’aime pas faire entendre l’objet de ses introspections. Il se sent rapidement désœuvré, mis à nu. Beth le sent se fermer, elle perd la fluidité des échanges, elle le sent.
— Je ne suis pas votre ennemie.
Si Adrian étend son dos le long du fauteuil, Beth se redresse contre son bureau, les mains jointes entre elles, donnant un air grave à son apparence juvénile. Elle n’a pas l’air de se contenter de bribes. Tandis que ses confrères se contentent d’échos rabachés à chaque entretien, Beth se montre plus orgueilleuse et difficile :
— Tout ce que vous me dites, je le sais déjà grâce à ça, dit-elle en secouant le dossier médical du châtain. Vous n’avez aucune volonté de vous faire consulter, j’entends bien. Personne ne l’a au premier rendez-vous. Mais si vous souhaitez que je valide le prochain palier médical pour vous débarrasser progressivement de vos heures prescrites par votre médecin militaire, plus vite vous pourrez prétendre à un emploi. Mais pour ça, il va me falloir plus que le contenant d’une page Wikipédia.
Le blond châtain crispe sa mâchoire. Un souffle s’extirpe de son nez, passant une main dans ses boucles, avant de la replacer machinalement contre le rebord du fauteuil.
— Il disait que j’étais… trop émotif, concède-t-il en tendant ses mains d’un geste dramatique. Trop imprévisible. Il ne m’écoutait pas vraiment.
Le son du stylo contre la page rêche du carnet résonne.
— Il était en quête du fils parfait. Quand j’ai grandi et qu’il a vu que je préférais le kiosque plutôt que le terrain de baseball, il a été quelque peu… Déçu, car je ne correspondais pas trop à l’image qu’il s’était fait, quoi. Ensuite est arrivé Scott.
— Votre petit frère. Qu’est-ce que vous pouvez nous dire sur lui ?
— Que je lui ai légué la plupart de mes comics Star Wars mais qu’il ne m’a jamais rendu ma figurine Han Solo de 2001, et ça m’embête beaucoup. J’y suis très attaché. Plus sérieusement, c’est un bon gamin.
— Ok pour votre papa et Scott, je pense qu’on y reviendra plus tard. Et votre mère ? Vous ne m’en parlez pas beaucoup.
Il souffle du nez. Sa mère…
— … Elle aussi aime l’image qu’elle se fait de moi. Elle aurait aimé que je sois un fervent chrétien, que je l’accompagne tous les dimanches à l’église…
— Votre mère est chrétienne protestante, c’est bien ça ?
— Oui, alors comme elle et Scott, je suis passé par le baptême très jeune, puis l’eucharistie…
— Et vous êtes croyant, demande-t-elle, intriguée.
— Non, ricane-t-il. C’est que des conneries, tout ça. Je n’ai jamais eu d’attache particulière avec la religion. Je le faisais machinalement, c’était plus… communautaire. Mais rien n’avait de sens, pour moi. Alors, quand j’ai dit à ma mère que j’arrêtais l’église…
Il grimace, étirant ses lèvres inférieures en une ligne basse, un sifflement sarcastique résonnant. Beth sourit.
— La douche froide pour votre maman.
— Pour elle, j’avais perdu la foi, mais la vérité c’est que je ne l’ai jamais eu.
— Athé, du coup ?
Sa tête se hoche, avec lenteur.
— Vous avez tout de même de bons souvenirs avec votre maman, non ?
— ... oh, oui ! Il me semble qu'elle m'a appris à faire un Pumpkin Pie, il doit me rester la recette quelque part... C'est dommage que je n'aime pas les citrouilles, quoi.
— … Bon. Et vous, alors ?
— La séance n’est toujours pas finie ?
— Ça ne fait que quinze minutes. Vous souhaitez vous arrêter ici pour aujourd’hui ? On peut, mais ça retarde…
— Non, non c’est bon. Moi, alors ? Hum, que dire… qu’est-ce que vous souhaitez savoir ?
— Vous étiez comment, petit ?
— Petit… j’étais du genre curieux. Je construisais des forts avec des conneries, je faisais des tricks avec mon vélo, j’aidais mon père à réparer sa Chevrolet, j’explorais la ville avec mes voisins… La liste est longue, mais j’étais pas sensible au sport. Mon père est entré dans l’équipe de football américain très jeune, moi je lisais des comics Star Wars et Marvel dans la boutique de la première rue de Shorefield à cet âge-là. Et l’église me faisait chier, au passage. Donc je faisais des conneries en Eglise.
— Mais encore ? Adrian arque un sourcil. Dans votre dossier militaire, il est écrit que vous avez des qualités humaines formidables : vous êtes passionné, cultivé, pugnace, courageux avec un fort sentiment de justice. Avez vous toujours été justicier, même dans votre enfance ?
L’ex-militaire plonge dans sa mémoire. Les souvenirs qu'il a de son petit frère sont à cette époque de son enfance moins joyeux.
— Je crois, oui. Ça me rendait malade que les plus forts s’en prennent aux plus faibles. Alors, je rentrais dans le tas, sans réfléchir.
— Vous avez des exemples à me citer ?
— … Je crois que la première fois où j’ai été vraiment borderline à l’école, c’est par rapport à Scott. Je comprends pas qu’un gamin gentil comme lui ce soit autant fait emmerder à l’époque, pour rien en plus, s’exclame-t-il en se remémorant quelques bribes de souvenirs.
— Qu’est-ce que vous voulez dire par “emmerder” ?
— Du genre à foutre à l’envers son casier, lui frapper le crâne au détour d’un couloir et parfois, version hardcore, lui foutre la tête dans les chiottes. J'en passe, hein.
— Et qu’est-ce que vous, vous ressentiez ?
— … Ben ça me foutait la mort rit-il, plus par réflexe qu’autre chose. Il ne faisait rien de mal ! C’est juste que, pour les autres, il était différent, et les gens ont peur de ce qu’ils ne comprennent pas. Pour moi, Scott restait l’enfant le plus sensible de tous, il ne méritait pas tout ça.
— Bien sûr, aucun enfant ne mérite ce que votre frère a pu vivre au collège et au lycée. Il y a un petit silence à la fin de cette phrase, le temps de quelques secondes, avant que la psychiatre ne reprenne.
— Qu’est-ce qui fait de vous ce que vous êtes, aujourd’hui ?
— Déjà, vous savez que je suis taquin, c’est un bon début.
— Pas d’histoire d’amour ?
— Rien de transcendant. Pas la peine qu’on s’arrête là dessus, vous serez déçue.
Ses yeux bleus transpercent les siens. Il semble n’avoir peur de rien.
— Bon, mettons de côté l’analytique pour le reste de la séance. Admettons que je décide de valider votre aptitude pour l’insertion professionnelle, avez-vous repéré un petit travail, le temps de retrouver une activité ?
— ... Peut-être. Dans un bar en centre ville, ils recherchent un employé à temps plein.
— Employé dans un bar, c’est un métier classique pour se relancer sur le marché. Et après ?
Adrian s’esclaffe.
— Travailler, il me semble que c’est la prochaine étape.
— Oui c’est vrai, mais peut-être que vous avez des projets ?
— Ah oui, j'en ai un : être tranquille ; boulot, appartement, quelques collègues. Le strict minimum.
Le minuteur de la psychologue retentit, sonnant la fin de la séance. Adrian ne quitte pas des yeux la blonde, la commissure droite de ses lèvres s’étirant en un sourire mystérieux.
— ... Je pense avoir rempli ma part du marché.
Il se redresse, surplombant la pièce de son mètre quatre-vingt-huit. Il est temps de partir, pour le blond. Mais la psychiatre le stoppe bien rapidement, d’un geste de la main qui invite à freiner les ardeurs.
— Adrian, je ne peux pas vous laisser partir avec un document d’aptitude comme ça…
— Je pense que si, continue-t-il en s’approchant du bureau. Il me semble avoir entendu le minuteur !
— Je vous propose un marché, coupe-t-elle, le ralentissant dans son élan. Je vous donne un autre document qui vous permet effectivement de candidater à l’offre d’emploi que vous avez repéré. Mais à l’essai.
— ... À l’essai ?
— Voici le deal ; faites trois séances supplémentaires avec moi, que je vous comprenne réellement. Vous ne m’avez pas l’air mauvais, je pense qu’il y a du bon, voire du très bon en vous. Mais vos antécédents à l’armée ne vous quitteront pas, ils auront toujours un œil sur vous quoi que vous fassiez.
— Très fataliste comme jugement mais j’apprécie votre sollicitude, prouvons leur le contraire et donnez moi le document ?
Il tente la technique du sourire. Mission abordée, l’ennemi ne flanche pas.
— Adrian, comprenez, assène-t-elle sans se démonter, je ne peux pas me permettre de vous laisser en autonomie sans diagnostic, c’est le contrat que vous avez passé avec vos supérieurs hiérarchiques et, de fait, celui que j’ai signé également. Dès lors que vous avez signé ce document, Adrian vous le saviez : vous devez suivre un TCC.
— Ah de la sophrologie ? Génial, j'ai toujours rêvé de méditer en tailleur et de voyager dans mon for intérieur pour gérer mes émotions grâce au souffle.
— Ce sera avec moi, ici, une fois par mois. Croyez-moi, ne vous fiez pas aux apparences. Vous pensez que je ne suis pas à la hauteur, mais tout comme vous j’ai tout à prouver. Collaborons, et montrons leur qu’on est plus que ce qu’ils veulent voir.
Adrian hésite. Il aimerait que tout ça soit derrière lui, qu'il puisse avancer, qu'il puisse travailler et se relancer rapidement dans une activité plutôt que se tourner les pouces chez lui, comme un lion en cage. Voyant qu'elle ne fléchit pas, il renverse sa tête en arrière, roulant sa nuque de gauche à droite, détendant ses nerfs. Un souffle blasé lui échappe.
— ... Bon, ok. Trois rendez-vous. Et ensuite, vous mettrez votre tampon sur le doc.
— Cela ne dépend que de vous, termine-t-elle en tendant sa main vers le blond. Hâte de déceler le mystère de votre intensité émotionnelle.
Un souffle s’extirpe de son nez, et il ne cache pas un rire simple, le visage se balançant de droite à gauche.
— Je n’ai jamais reçu un compliment collaboratif aussi touchant, Beth.
Derrière le personnage
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<div class="shf-001b"><h2>Adrian P. Davis</h2><scroll>Homme cis • 29 ans • Américain • Barman et agent de sécu
Adrian P. Davis est le fils cadet de Kenneth et Deborah Davis. Enfant intense aux sentiments nobles, son hypersensibilité fait de lui un enfant qui gère difficilement ses émotions, autant les meilleures que les néfastes. Plein d'esprit et de ressources, l'enfant casse-cou devient quinze ans plus tard Caporal. Ironie du sort, il quitte l'armée des suites d'un "accident" lors d'une mission, lui valant une luxation d'épaule. Adrian doit apprendre à vivre en société tout en gérant ses émotions, et sa plus fidèle alliée sera sa psychiatre, Beth Poliarski.</scroll></div>
<h3 class="shf-hvbx"><span>Dates & Lieux</span>
<p><scroll>[b]1994[/b]
Né à Shorefield
[b]2012 - 2023[/b]
A vécu à la base militaire de Fort Liberty, Fayetteville, Caroline du Nord
[b]2020 [/b]
Est nommé Caporal
[b]2023[/b]
Diagnostiqué avec l'incapacité d'honorer son contrat à l'armée des suites de son importance luxation à l'épaule ; son contrat s'achève.
[b]Début 2024[/b]
Premier suivi psy avec Beth Poliarski
[b]Mars 2024[/b]
Embauché à l'Oasis en tant que Barman</scroll></p></h3>
</div>
Bon, j'avais commencé à modifier mon comm, mais j'ai tout perdu
J'me souviens avoir évoqué la kryptonite clairement, j'suis faible, j'suis à genoux, j'suis à terre
Encore ?????? Ça doit être le conflit dans la force ça, j'reconnais
Mais quand même, s'agirait de se calmer
Ah bé super, en voilà une superbe de relation
real footage de la mère d'Adrian :
j'me répète, j'me répète MAIS Bae a besoin d'aide pour l'entretien de sa tuyauterie ça tombe bien
Aller la Bianca, ça dégage, t'as assez maté, laisse la place maintenant
Un atout indéniable à mon bras ouais
Ah putain, j'avais pas prévu pour le développement de Bae qu'il devienne pilier de bar.....bon.... petite reconversion de dernière minute
Ma page est cassé j'peux plus rien quote
Mais en tout cas j'suis conquise, j'ai hâte de le voir casser des cu- GUEULE pour faire régner la justice MDRRR non en vrai non, on va descendre d'un cran sur l'intensité, on va apprendre à se contrôler, pour ça j'connais un bon moyen la méditation, tu sais qui serais le prof parfait pour ça ???
Un garçon qui a grandit dans un temple bouddhiste et qui pratique la méditation tout les matins avec son père p't'être ????
@le maire vient valider mon keum stp merci
J'me souviens avoir évoqué la kryptonite clairement, j'suis faible, j'suis à genoux, j'suis à terre
Ad Laurent a écrit:Adrian a longtemps joué au basket, mais il a dû arrêter d’y jouer après une légère altercation.
Encore ?????? Ça doit être le conflit dans la force ça, j'reconnais
Mais quand même, s'agirait de se calmer
Le seul souvenir marquant qu’il a de sa mère en dehors du fait qu’elle kiffe Jesus, c’est la recette de son Pumpkin Pie qu’elle lui a forcé d’apprendre pour la « transmission »
Ah bé super, en voilà une superbe de relation
real footage de la mère d'Adrian :
- Spoiler:
C’est lui le daron qui descend au sous-sol réparer les plombs qui sautent, les éviers bouchés et les courts-circuits.
j'me répète, j'me répète MAIS Bae a besoin d'aide pour l'entretien de sa tuyauterie ça tombe bien
Leur regard se croise, le temps d’une introspection évidente de la part de la maîtresse des lieux.
Aller la Bianca, ça dégage, t'as assez maté, laisse la place maintenant
marqué par une cicatrice reçue lors de son service militaire
Et en plus, je suis plutôt charismatique et beau gosse, un atout indéniable dans un bar, paraît-il.
Un atout indéniable à mon bras ouais
tu seras pas surpris de savoir que ça fait partie du métier de la nuit de flirter un peu avec les clients…
Ah putain, j'avais pas prévu pour le développement de Bae qu'il devienne pilier de bar.....bon.... petite reconversion de dernière minute
MARIÉ : NON
Ma page est cassé j'peux plus rien quote
Mais en tout cas j'suis conquise, j'ai hâte de le voir casser des cu- GUEULE pour faire régner la justice MDRRR non en vrai non, on va descendre d'un cran sur l'intensité, on va apprendre à se contrôler, pour ça j'connais un bon moyen la méditation, tu sais qui serais le prof parfait pour ça ???
Un garçon qui a grandit dans un temple bouddhiste et qui pratique la méditation tout les matins avec son père p't'être ????
@le maire vient valider mon keum stp merci
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Pirika Pirilala Poporina Peperuto
Je ne ferais aucun commentaire, mais j'ai absolument besoin de tag @jax tuckerC’est une main de tueur ; toutes les plantes qu’il a pu prétendre posséder meurent en d’atroces souffrances.
Jouer aux jeux de société est une vraie torture pour les gens parce qu’il ne supporte pas perdre.
Pitié j'ai besoin de lire un RP dans lequel Adrian joue aux jeux de société, j'en ai besoin. Je visualise déjà toutes les scènes Est-ce qu'il est du genre à prétendre que la partie de Mario Kart est buguée dès qu'il se fait dépasser pour la relancer ? (C'est pas un jeu de société mais voilà) Ou alors il prend plaisir à acheter tous les terrains au Monopoly pour en laisser aucun à ses adversaires
C’est lui le daron qui descend au sous-sol réparer les plombs qui sautent, les éviers bouchés et les courts-circuits.
Ca c'est hyper choupi
Y A PAS ENCORE D'HISTOIRE MAIS G HÂTE
Et heu bienvenue, ou rebienvenue ? (Je sais jamais si j'ai affaire à un DC j'ai peur d'avoir l'air bête)
du coup rebienvenue dans le doute
J'ai cru comprendre que ce FC faisait l'effet d'une bombe nucléaire dans le slip de certaines personnes (une seule), quel homme
Pepper m'a déjà tag pour m'afficher mais
(on a rarement vu un usage plus approprié de cet emote)
PTDRRRR NON MAIS est-ce qu'il roule des pelles à sa glace aussi tant qu'on y est ??
Je vais pas tout quote mais j'adoooore comment tu t'es servie de son nouveau boulot à l'Oasis pour le décrire physiquement et mentalement sous le regard de son nouvel employeur queen bianca del rio je suis très friande de ce genre de trucs (sans surprise) donc miam miam, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de l'histoire du coup, parce qu'on a déjà des aperçus hyper intéressants sur sa famille et sur son passé à l'école et à l'armée, ÇA MET L'EAU À LA BOUCHE
+ aussi sa relation inrp avec Bianca, jvais bien stalk ça pour voir s'il bosse bien (pour qui jme prends en fait)
REBIENVENUE DU COUP (oui je sais qui t'es, je sais TOUT ) jviendrai sûrement gratter un lien un jour en tant que rat squatteur de l'oasis, mais chui pote avec la patronne donc pas le droit de me foutre dehors ok
Pepper m'a déjà tag pour m'afficher mais
C’est une main de tueur ; toutes les plantes qu’il a pu prétendre posséder meurent en d’atroces souffrances.
Adrian a commencé à détester l’église lorsque le pasteur disait aux fidèles chrétiens qu’il ressemblait à un ange, ça lui a fait peur. –
(on a rarement vu un usage plus approprié de cet emote)
Il se la racle, se mate devant le miroir et contracte ses muscles comme un connard.
PTDRRRR NON MAIS est-ce qu'il roule des pelles à sa glace aussi tant qu'on y est ??
Je vais pas tout quote mais j'adoooore comment tu t'es servie de son nouveau boulot à l'Oasis pour le décrire physiquement et mentalement sous le regard de son nouvel employeur queen bianca del rio je suis très friande de ce genre de trucs (sans surprise) donc miam miam, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de l'histoire du coup, parce qu'on a déjà des aperçus hyper intéressants sur sa famille et sur son passé à l'école et à l'armée, ÇA MET L'EAU À LA BOUCHE
+ aussi sa relation inrp avec Bianca, jvais bien stalk ça pour voir s'il bosse bien (pour qui jme prends en fait)
REBIENVENUE DU COUP (oui je sais qui t'es, je sais TOUT ) jviendrai sûrement gratter un lien un jour en tant que rat squatteur de l'oasis, mais chui pote avec la patronne donc pas le droit de me foutre dehors ok
EUUUUUUUUH MERCI ENFT @Jax Tucker @Pepper Bell @Bae Jun Kang
Et quand il tombe sur les pires loyers à payer et qu'il est à sec, il peut à tout instant renverser la table et partir. Un vrai connard
J'avoue j'ai été une bâtarde, c'est bien celle qui joue Quinn qui vient de pondre un Lucifer sur terre
Je te jure que la dernière fois je suis tombée sur TikTok d'anakin Skywalker et j'ai hurlé : THATS HIMMM PTDRRR Anakin devant le miroir qui dit "are you an angel ?" mort mort mort mooooort
Une super collaboration avec Bianca, ça fait plaisir
LE CARACTÈRE TE SUFFIT PO ?
A LA BONNE HEURE JE T'ATTENDS MALANDRIN
C BON L'HISTOIRE EST POSTEE ET CE SOIR J'ACTUALISE AVEC LE RESTE PSK JE SUIS EN COURS ENFT BSOUUUS
Poivre a écrit:Ou alors il prend plaisir à acheter tous les terrains au Monopoly pour en laisser aucun à ses adversaires
Et quand il tombe sur les pires loyers à payer et qu'il est à sec, il peut à tout instant renverser la table et partir. Un vrai connard
J'avoue j'ai été une bâtarde, c'est bien celle qui joue Quinn qui vient de pondre un Lucifer sur terre
Jacques a écrit:PTDRRRR NON MAIS est-ce qu'il roule des pelles à sa glace aussi tant qu'on y est ??
Je te jure que la dernière fois je suis tombée sur TikTok d'anakin Skywalker et j'ai hurlé : THATS HIMMM PTDRRR Anakin devant le miroir qui dit "are you an angel ?" mort mort mort mooooort
jÂK a écrit:Je vais pas tout quote mais j'adoooore comment tu t'es servie de son nouveau boulot à l'Oasis pour le décrire physiquement et mentalement sous le regard de son nouvel employeur queen bianca del rio
Une super collaboration avec Bianca, ça fait plaisir
Geac a écrit: [...]s'il bosse bien
LE CARACTÈRE TE SUFFIT PO ?
Jackss a écrit:jviendrai sûrement gratter un lien un jour en tant que rat squatteur de l'oasis, mais chui pote avec la patronne donc pas le droit de me foutre dehors ok
A LA BONNE HEURE JE T'ATTENDS MALANDRIN
C BON L'HISTOIRE EST POSTEE ET CE SOIR J'ACTUALISE AVEC LE RESTE PSK JE SUIS EN COURS ENFT BSOUUUS
HOLA PAPYCHULO
veux crever, il est trop trop cool pour pas dire d'autre terme classer R-18
Non mais stop !! JE SUIS AMOUR ARRETE JENPEUPIOU ET PUIS WOW STOP LE SUSPENCE DIT MOI TOUT JVEUX LA FIN DE LA DISCUSSION A PROPOS DE CE QUELLE A ENTENDU DANS LE BAR !!!! TU PEUX PAS ME LAISSER DANS CET ETAT PTN DE BORDEL DE MIERDA
Pis wow, le feat, l'avatar INROYABLE JE N'EN PEU PLUS C TERRIB SOMEONE HELP ME
veux crever, il est trop trop cool pour pas dire d'autre terme classer R-18
Watch him sortir son meilleur sourire pour avoir une augmentationAdrian utilise son sourire en toute circonstance telle une arme de destruction massive. L’arme ne fonctionne pas toujours.
Jvais le draguer, c'est bon pour toi ? BIANCA VA FINIR AU TRIBUNAL POUR HARCELLEMENT MAIS C'EST ENTIEREMENT DE TA FAUTESes boucles encadrent son visage anguleux, marqué par une cicatrice reçue lors de son service militaire. Ses yeux, bien que bleus, semblent toujours assombris, sauf lorsqu’il regarde par la fenêtre, leur donnant une belle couleur limpide
Non mais stop !! JE SUIS AMOUR ARRETE JENPEUPIOU ET PUIS WOW STOP LE SUSPENCE DIT MOI TOUT JVEUX LA FIN DE LA DISCUSSION A PROPOS DE CE QUELLE A ENTENDU DANS LE BAR !!!! TU PEUX PAS ME LAISSER DANS CET ETAT PTN DE BORDEL DE MIERDA
Pis wow, le feat, l'avatar INROYABLE JE N'EN PEU PLUS C TERRIB SOMEONE HELP ME
oie
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09/09/2023
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26
Bé a écrit: Aller la Bianca, ça dégage, t'as assez maté, laisse la place maintenant
MDRRRRRRRRR j’ai besoin de moula soit pas trop violent stp
Ba& a écrit: Un garçon qui a grandit dans un temple bouddhiste et qui pratique la méditation tout les matins avec son père p't'être ????
Omg j’ai eu une vision d’Adrian qui médite et c’était EXTRAORDINAIRE PTDRRRRRRR
J’aurais aimé tout quote mais il en faut pour tout le monde
Patron a écrit: Watch him sortir son meilleur sourire pour avoir une augmentation
PTDRRRR si c’est pas une augmentation ce sera des libertés pas très autorisées
Boss a écrit: Non mais stop !! JE SUIS AMOUR ARRETE JENPEUPIOU ET PUIS WOW STOP LE SUSPENCE DIT MOI TOUT JVEUX LA FIN DE LA DISCUSSION A PROPOS DE CE QUELLE A ENTENDU DANS LE BAR !!!! TU PEUX PAS ME LAISSER DANS CET ETAT PTN DE BORDEL DE MIERDA
Promis je viens dans tes quartiers très rapidement pour qu’on éclaire ce point
C’EST BON J’AI FINI MA FICHE
SALUT TOI!
Je vois que t'as pas attendu longtemps après tes 5 RPs terminés pour faire un DC, exactement 5 min et 32 secondes MDRRR
C'est parti pour voir ce que tu nous as concocté (déjà avatar incroyable)
STAR WARS NERD VA
Voilà un personnage qui va beaucoup te changer de Quinn, ça va être challenge intéressant à relever ; can't wait to see that et vivement que Nate le juge en le voyant faire son justicier, ça va sortir les violons j'te le dis MDRRRR
ALLEZ JTE VALIDE
Je vois que t'as pas attendu longtemps après tes 5 RPs terminés pour faire un DC, exactement 5 min et 32 secondes MDRRR
C'est parti pour voir ce que tu nous as concocté (déjà avatar incroyable)
Il les déteste carrément ? Adrian gros rageux, peut-être les courges elles t'aiment pas non plus t'sais, t'y as pensé à ça ???Adrian déteste les courges.
Ca doit être un de mes frères celui-là, en plus son prénom finit par "-an" comme par hasard MDRRRRJouer aux jeux de société est une vraie torture pour les gens parce qu’il ne supporte pas perdre.
Johnny Bravo ma parole MDRRRAdrian se sait beau. Il se la racle, se mate devant le miroir et contracte ses muscles comme un connard.
On dit que dans chaque personnage que l'on crée, il y a une part de nous-même. J'AI TROUVE LA TIENNE WALLAH MDRRRRIl peut faire du manspreading sur Star Wars, pour dire.
STAR WARS NERD VA
Voilà un personnage qui va beaucoup te changer de Quinn, ça va être challenge intéressant à relever ; can't wait to see that et vivement que Nate le juge en le voyant faire son justicier, ça va sortir les violons j'te le dis MDRRRR
ALLEZ JTE VALIDE
renard
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Périphérie
Bienvenue officiellement sur Shorefield
Fais comme chez toi, foule toutes les catégories du forum et laisse ta trace un peu partout !
Je ne vais pas te rappeler tout ce qui est dit dans Le Guide du nouvel arrivant car tu es censé.e le connaître sur le bout des doigts , mais sache que ton registre est crée ! Dedans, tu trouveras la présentation de ton personnage, mais aussi la fiche relations que tu dois créer et remplir avant de commencer à RP. Pense aussi à remplir ton profil selon ton personnage, sans oublier d'insérer le lien vers ton registre :)
Le Maire reste à disposition pour répondre à tes questions et te souhaite un max de fun ♡
PS : sache que tu peux poster à la suite de ce message si tu n'as pas fini de répondre aux messages de bienvenue !
Papa a écrit:Il les déteste carrément ? Adrian gros rageux, peut-être les courges elles t'aiment pas non plus t'sais, t'y as pensé à ça ??? eww
TAIS TOI TOI T'AIMES PAS LES CHAMPIGNONS JTE PERMETS PAS DE CRITIQUER
Papa a écrit:On dit que dans chaque personnage que l'on crée, il y a une part de nous-même. J'AI TROUVE LA TIENNE WALLAH MDRRRR
STAR WARS NERD VA
PTDR je plaide coupable
Mais j'ai pas mis de la musique comme tu as pu le constater
Merci pour la validation Muad Dib, nous t'aimons, Adrian et moi
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