Lancelot Warren BlakeJ'aimerais partir avec toi
Et brûler des églises

Profil

Sexe/GenreHomme cis
Date de naissance (Age)3 novembre 1996 (27 ans)
OriginesIrlandaises
NationalitéAméricain
GroupeEcureuil
Métier ou ActivitéMaître nageur
OrientationBisexuel
Est à Shorefield depuis...7 ans
Avatar illustréBilly Hargrove [Stranger Things -
Сева Польская]
Avatar réelDacre Montgomery

Appelle sa bagnole « bébé » • N’aime pas qu’on lui parle avant qu’il ait pris son premier café • A un parfum qui sent la cannelle (mais il ne le sort pas souvent) • A un intérêt spécifique pour les films d’horreur (adore la trilogie des fear street et sort les meilleurs déguisements pour chaque Halloween. L'année dernière, il avait un costume de Gene Simmons version zombie) • Mange des petits-déjeuners ultra protéinés (œufs & bacon) • Pourrait boutonner ses chemises jusqu’au col mais ne le fait pas parce qu’il sait qu’il a un torse d’enfer • Bonne tolérance au froid • Fume tellement que ses doigts sont jaunis en plus d’avoir de la graisse sous les ongles (à cause de "bébé" qui mouille beaucoup)  •  A des callosités sur le bout des doigts à cause de la guitare • Ne boit jamais de cocktails parce que bordel, l’alcool, ça se savoure • Tient à son espace personnel • A toujours un tournevis dans la poche de son pantalon (parce que ça peut toujours servir) • Insolemment doué • Insolemment sassy • Préfère être détesté qu'ignoré • Donne toujours plus de coups aux gens qui ont l'air d'avoir de la thune à perdre • Adore souffler la fumée de sa clope dans la gueule des gens • Est un excellent nageur • Donne des cours d'aquagym le lundi, le mercredi et le samedi soir (et sa playist est D'ENFER) • Adore trouver des surnoms adorablement affreux pour toutes les personnes qu'il fréquente  •  A des tâches de rousseur qui ressortent surtout quand il fait beau • A déjà été poursuivi deux fois pour coups et blessures (et a déjà failli perdre son permis parce qu'il roule toujours au-dessus de la vitesse autorisée

Description

Physique

Lorsqu’on le voit de dos, moulé dans ce jean un peu trop serré, avec ses boucles blondes qui roulent sur ses épaules musclées, il est possible, l’espace d’une minute, de prendre Lance pour une gonzesse. Parce qu’il a une taille de guêpe et des anglaises qui feraient rougir d’envie ta copine. Mais lorsqu’il se retourne, impossible de rater la ligne boudeuse de ses lèvres pleines, le fin tracé de sa moustache et les sombres sourcils qui ourlent son regard bleu. Malgré les innombrables cicatrices qui ornent ses mains à cause de son ancien travail, Lance sait comment attirer l’œil de son public et il n'hésite jamais à sourire de la façon la plus provocatrice possible (parce que si son public est troublé, c'est encore mieux). Il marche comme si la rue lui appartenait, il rit comme s’il était le roi du quartier et ses yeux clairs sont bordés d’une frange de cils ridiculeuseument longs. Impossible de le rater lorsqu’il rentre dans une pièce, même s’il sait se faire silencieux. Lorsqu’un rictus ourle ses lèvres, il est particulièrement joueur et provocateur. Son visage est particulièrement expressif et ses émotions sont plutôt faciles à lire (enfin, tant que ce n'est pas de la tristesse. Là, c'est carrément inexistant). Sa voix est particulièrement rauque, à cause de toutes les clopes qu'il a fumées depuis ses treize ans. Mais il ne compte pas passer à la vapot', parce que bordel, ça fait tarlouze.  

Caractère

Il est très facile de prendre Lance pour un mec toxique, parce qu’il se comporte souvent en tant que tel. Les insultes lui viennent facilement, tout autant que les blagues graveleuses. Ce que Lancelot ne supporte pas, c’est de perdre la face, alors il fait son, possible pour ne jamais se laisser distancer. Même si ça passe par des coups de poings, et autres joyeusetés. Il faut dire que Lance ne se met pas beaucoup de limites : il tient peu compte du filtre social et aime pousser les gens dans leurs retranchements. S'il n'arrive pas à faire péter un câble à saon interlocuteur·ice, c'est que c'est une interaction qui ne présente aucun intérêt. Parce qu'à quoi bon vivre sagement ? Il vit pour l’adrénaline et tout ce qui va avec : autant dire que c’est un fonceur impulsif qui n’aime pas qu’on s’oppose à lui. Mais il sait également être charmant quand il le faut, déployant des artifices qui brouillent les limites parce qu’on ne sait pas ce qui va sortir de ses lèvres. Étant doté d’un certain sens de l’observation, Lance aime pincer là où ça fait mal et, pourquoi pas, rajouter un peu de sel par-dessus. Il n’a pas sa langue dans sa poche et n’hésite pas à remettre les autres à leur place, tout en ayant un sens très personnel de la justice. Lance n'a évidemment pas une éthique de social justice warrior mais il déteste voir les gens "faibles" se faire défoncer. Alors, il n'hésite pas à se mêler de ce qui ne le regarde pas (surtout lorsque ça concerne les violences conjugales).  Il est également très fier et de mauvaise foi. En gros, c’est un peu le genre de mec que t’as pas envie d’avoir chez toi parce que tu sais pas s'il va dire qu'il aime ce tableau de K.J Larinsky que t'as accroché à ton mur ou directement jeter sa canette de bière dessus pour ajouter un soupçon de couleur en plus.

Histoire

 Août 2008

And my heart, it shook with fear
I'm a coward behind a shield and spear
Take this sword and throw it far
Let it shine under the morning star

« Mais quel connard ! »

Lancelot a 12 ans et crie face à la mer. Ce n’est pas une scène inhabituelle, c’est même un classique. Il n’y a que face à la mer qu’il peut hurler ce qu’il a sur le cœur. Parce qu’il sait que le vent emportera toutes les insultes, tous les hurlements qui le rongent de l’intérieur. Il n’y a que la mer qui peut le soulager de toute cette colère, de cette rage qu’il ressent en permanence. Lance ouvre grand la bouche et laisse sortir toute la haine qui menace de le dévorer.

Enfin, lorsque sa gorge brûle et que sa voix est râpeuse, il rentre.

Son beau-père est toujours affalé devant la télé avec sa Budweiser, sa mère est dans la salle-de-bain, sûrement en train de chialer. Malgré sa vulnérabilité et ses mauvais choix de vie, son fils continue à se sentir concerné par son sort. Et Lance ne sait pas quoi faire pour gérer la situation. La dernière fois, il s’est déjà pris un coup. Alors, il retourne dans sa chambre et il pense à ce qu’il essayera de faire pour M’man lorsqu’il sera majeur. Quand il sera assez grand pour foutre à la porte tous ces enfoirés qui la font pleurer. Il se promet qu’il l’emmenera à New-York et qu’il lui achètera toutes les robes qu’elle voudra, qu’il lui donnera tout ce qu’il faudra pour qu’elle n’ait plus besoin de combler son cœur avec le premier mec qui lui passe sous la main, histoire qu’elle puisse être sa propre personne.

Septembre 2011

« Vous portez le prénom d’un grand chevalier, Blake, est-ce que vous le saviez ? 
— Ouaip, j’en ai l’épée, aussi. Vous voulez la voir ? »

Lancelot ricane en chœur avec les autres abrutis de la classe tandis que la professeure de littérature se pince le nez en soupirant. Le jeune homme a gagné en taille, mais guère en sagesse ; sa langue se délie toujours trop vite lorsqu’il est excité et il a l’impression que quoi qu’il fasse, il ne sera jamais à la hauteur du prénom qu’il porte. Alors, autant le raccourcir, non ? Lance, c’est plus offensif, plus barbare, et c’est suffisant. M’man pleure toujours mais il est capable de répliquer lorsque son beau-père du moment (Justin ? Dustin ?) lui fout une taloche derrière la tête parce qu’il n’a pas acheté le pack de bières qu’il fallait. Dans ces moments-là, heureusement, la mer est encore là. Ses vagues sont le seul endroit où il se sent en sécurité, même lorsqu’il est sur le point de sombrer en elle. Et elle est là pour lui surtout lorsqu’il est sur le point de se noyer. Alors, Lance perce la surface de l’océan et se laisse flotter jusqu’à ce que ses pensées se dissolvent dans le soupir de l’écume.

Il a le sentiment que sa vie pourrait s’arrêter là, sur cette plage, sur ce coin de terre, et que le monde ne s’en porterait pas plus mal.

Pourtant, il revient toujours vers le rivage, parce qu’il sait qu’il ne peut pas abandonner aussi facilement.

Décembre 2013

Lance lèche distraitement le sang qui souille ses lèvres. Au moins, le mec qu’il a en face de lui a l’air bien amoché, son arcade sourcilière est éclatée et son nez pisse le sang. Le blond sourit gaillardement et s’avance vers son adversaire. Il apprécie la tension qui alourdit l’atmosphère tout autant qu’il aime sentir les battements chaotiques de son cœur contre sa cage thoracique. C’est comme s’il avait de la lave dans les veines, du feu qui fait briller ses yeux de mille feux.

« Je te la laisse. » dit-il, finalement, lassé

La fille qu’il était en train d’embrasser à peine quelques minutes plus tôt pousse un petit cri outré et fronce les sourcils, genre tout ça pour ça?!. Oui, tout ça pour ça, parce qu’il voulait juste sentir un flot d’adrénaline électriser ses veines. Et quoi de mieux qu’une bête bagarre pour une gonzesse ? Ce sera toujours plus intéressant que de la sauter, en fin de compte, comme s'il préférait le sang à tous les fluides qui viennent avec le sexe.

Bon, il faudrait au moins qu’il évite de crever avant d’avoir atteint la majorité. Mais ça, c’est une autre histoire.

Janvier 2015

Il n’avait évidemment pas eu assez d’argent pour aller à la fac, alors Lance s’était lancé dans le seul business qui l’attirait : celui des bagnoles. La mécanique était son truc depuis déjà quelques années (grâce au seul beau-père qui n’a pas été un enfoiré, mais dont sa mère s’est vite lassée) et il savait parfaitement bien se servir de son sourire pour fidéliser n’importe quel clientèle. Le meilleur dans tout ça, c’est qu’il s’en tirait plutôt bien et qu’il aimait ce qu’il faisait. Dans quelques mois, si tout se passait bien, il pourrait dire à sa mère qu’elle pourrait arrêter de compter sur le premier connard venu pour payer le loyer. Il pourrait lui offrir un peu de stabilité, et peut-être enfin trouver pour lui-même un peu de paix.

Mars 2015

Il est tard. Lance s’allume une clope, bavarde avec les gars qui traînent sur le patio lorsque son portable sonne. La semaine a été longue et il hésite à décrocher. Trois appels manqués, déjà. Le type qui l'appelle aurait au moins pu lui laisser un message. Mais à l’autre bout du fil, une voix rocailleuse lui annonce que sa mère est décédée suite à une hémorragie interne. Sur le certificat de décès, il sera marqué « violences conjugales ».

A ce moment-là, même la mer n’a plus été en mesure de l’aider.


Février 2016

Après avoir géré les obsèques de sa mère, Lance s’est demandé ce qui le poussait à rester dans cette ville au bord de la mer. Quelques souvenirs, vaguement agréables, lui restaient, des fragments de nuits étoilées, le fantôme de lèvres qu’il avait capturées, l’écho des airs qu’il avait paresseusement joués sur sa guitare les soirs où le ciel était si clair qu’il avait l’impression qu’il pouvait y voir la Voie Lactée. Il gardait aussi en lui les précieuses années qu’il avait passé seul avec sa mère, quand il était petit. Mais il était obligé d’admettre que cette ville ne lui offrirait rien de plus et qu’il était temps de repartir de zéro.
Son choix s’est porté sur Shorefield, qui lui permettrait de revenir à l’océan lorsque l’envie le prendrait. Pour ses vingt ans, il prendrait sa T-bird vert d’eau ; dans le coffre, il n’y aurait que sa valise, un pack de malboro et sa guitare.

Et devant ses yeux bleus, la route infinie.

Juin 2023

Sept ans ont passé. Ce qui était un nouveau départ est finalement devenu un lieu où Lance se sent à sa place. Il travaille toujours dans la piscine locale où il a postulé quand il est arrivé. L’équipe est plutôt sympa et apprendre à nager à des gamins, ça passe, parce que Lance est un peu devenu le seul dictateur maître de son territoire depuis le temps qu'il bosse dans cette odeur de chlore. Parfois, il donne aussi des cours d’aquagym aux mamies, ce qui le met vaguement mal à l’aise (mais bon, ça fait des bonnes anecdotes à raconter aux potes. Et puis, peut-être que ça touche aussi à ses mommy issues). Shorefield est une ville délicieusement familière, qu’il a appris à aimer. Cependant, Lance ne s’est pas assagi : au fond de lui, il reste cet adolescent colérique, terrorisé à l’idée qu’on puisse l’abandonner. En toute honnêteté, il doute d'être déjà tombé amoureux, même s'il sait qu'il reproduit les pires comportements qu'il a observés pendant son adolescence. Seulement, c'est plus simple de se comporter comme ça avec les gens qui lui plaisent, parce que c'est tellement plus facile d'être le premier à partir lorsque la situation devient trop complexe. Parfois, il se demande quelle autre vie il aurait pu avoir. Si elle aurait été meilleure, ou juste différente, s’il avait grandi dans un meilleur contexte. Mais l'eau qu'il contemple pendant ses heures de travail est devenue aussi familière que la peau de ses amants, et peut-être que la meilleure réponse à ses doutes nocturnes est que pour une fois, il devrait essayer d’être aussi noble que le prénom qu’il porte.

Alors, Lancelot s’investit autant qu’il le peut, en essayant de ne pas sacrifier sa fierté au passage. Parce qu’en fin de compte, c’est tout ce qu'il lui restera.

Derrière le personnage

Un sale chat m’a attiré par ici et je l’ai suivi. ‘Pis, je me suis dis que tant qu’à faire, autant s’installer dans le coin. On m’appelle Marvel, j’ai 32 ans, j’aime les renards et les sandwichs au beurre de cacahuète, avec de la confiture de fruits rouges, et je passe un peu trop de temps sur tumblr.
PS : Je viens de réaliser que j'ai posté dans le mauvais topic, LOLZ. BON, fermez les yeux sur le fait que je suis un boulet, svp. Je fais des perso sexy, ça compense quand même un peu, non ?

Formulaire pour annuaire:

Appelle sa bagnole « bébé »

Fume tellement que ses doigts sont jaunis en plus d’avoir de la graisse sous les ongles (à cause de "bébé" qui mouille beaucoup)

Ne boit jamais de cocktails parce que bordel, l’alcool, ça se savoure

Adore souffler la fumée de sa clope dans la gueule des gens

Il est très facile de prendre Lance pour un mec toxique

J'AIMERAIS PARTIR AVEC TOI ET BRÛLER DES ÉGLISES

Spoiler:

Appelle sa bagnole « bébé »

Pourrait boutonner ses chemises jusqu’au col mais ne le fait pas parce qu’il sait qu’il a un torse d’enfer

Parce qu’il a une taille de guêpe et des anglaises qui feraient rougir d’envie ta copine.

Sa voix est particulièrement rauque, à cause de toutes les clopes qu'il a fumées depuis ses treize ans. Mais il ne compte pas passer à la vapot', parce que bordel, ça fait tarlouze.

les blagues graveleuses

il tient peu compte du filtre social et aime pousser les gens dans leurs retranchements.

En gros, c’est un peu le genre de mec que t’as pas envie d’avoir chez toi.

Spoiler:

il a l’impression que quoi qu’il fasse, il ne sera jamais à la hauteur du prénom qu’il porte. Alors, autant le raccourcir, non ? Lance, c’est plus offensif, plus barbare, et c’est suffisant.

Lance W Blake a écrit:A un parfum qui sent la cannelle (mais il ne le sort pas souvent)

Lance W Blake a écrit:Adore souffler la fumée de sa clope dans la gueule des gens

Lance W Blake a écrit:Il marche comme si la rue lui appartenait, il rit comme s’il était le roi du quartier

Lance W Blake a écrit:Il faut dire que Lance ne se met pas beaucoup de limites : il tient peu compte du filtre social et aime pousser les gens dans leurs retranchements.

Lance W Blake a écrit:Lance n'a évidemment pas une éthique de social justice warrior mais il déteste voir les gens "faibles" se faire défoncer. Alors, il n'hésite pas à se mêler de ce qui ne le regarde pas (surtout lorsque ça concerne les violences conjugales).

Lance W Blake a écrit:Il se promet qu’il l’emmenera à New-York et qu’il lui achètera toutes les robes qu’elle voudra, qu’il lui donnera tout ce qu’il faudra pour qu’elle n’ait plus besoin de combler son cœur avec le premier mec qui lui passe sous la main, histoire qu’elle puisse être sa propre personne.

Lance W Blake a écrit:« Vous portez le prénom d’un grand chevalier, Blake, est-ce que vous le saviez ? 
— Ouaip, j’en ai l’épée, aussi. Vous voulez la voir ? »

Lancelot ricane en chœur avec les autres abrutis de la classe tandis que la professeure de littérature se pince le nez en soupirant.

Lance W Blake a écrit:Alors, Lance perce la surface de l’océan et se laisse flotter jusqu’à ce que ses pensées se dissolvent dans le soupir de l’écume.

Lance W Blake a écrit: Mais à l’autre bout du fil, une voix rocailleuse lui annonce que sa mère est décédée suite à une hémorragie interne. Sur le certificat de décès, il sera marqué « violences conjugales ».

A ce moment-là, même la mer n’a plus été en mesure de l’aider.

Lance W Blake a écrit: PS : Je viens de réaliser que j'ai posté dans le mauvais topic, LOLZ. BON, fermez les yeux sur le fait que je suis un boulet, svp. Je fais des perso sexy, ça compense quand même un peu, non ?

Appelle sa bagnole « bébé »

A toujours un tournevis dans la poche de son pantalon (parce que ça peut toujours servir)

Préfère être détesté qu'ignoré • Donne toujours plus de coups aux gens qui ont l'air d'avoir de la thune à perdre • Adore souffler la fumée de sa clope dans la gueule des gens

Il marche comme si la rue lui appartenait, il rit comme s’il était le roi du quartier

Il est très facile de prendre Lance pour un mec toxique, parce qu’il se comporte souvent en tant que tel

Les insultes lui viennent facilement,

S'il n'arrive pas à faire péter un câble à saon interlocuteur·ice, c'est que c'est une interaction qui ne présente aucun intérêt.

En gros, c’est un peu le genre de mec que t’as pas envie d’avoir chez toi parce que tu sais pas s'il va dire qu'il aime ce tableau de K.J Larinsky que t'as accroché à ton mur ou directement jeter sa canette de bière dessus pour ajouter un soupçon de couleur en plus.

« Vous portez le prénom d’un grand chevalier, Blake, est-ce que vous le saviez ?
— Ouaip, j’en ai l’épée, aussi. Vous voulez la voir ? »

Mais à l’autre bout du fil, une voix rocailleuse lui annonce que sa mère est décédée suite à une hémorragie interne. Sur le certificat de décès, il sera marqué « violences conjugales ».

Ah merde.... Bon y'as pas que des cocktail en vrai a L'Oasis