Cassandre Roy"You can steal all my money, leave me deaf dumb and blind, but would you be so kind as to not waste my time." LeGrand & Ethan Gander, Don't Waste my TimeProfil
Genrehomme
Date de naissance (Age)18 avril 1994 (30 ans)
OriginesFrançaise et japonaise
NationalitéAméricain (né et élévé)
GroupeRenard
Métier ou ActivitéInspecteur du Travail
OrientationBisexuel
Est à Shorefield depuis...toujours
Avatar illustréFugou Keiji Balance > Daisuke Kambe >
Avatar réel//
Adore les poires - Aucune notion de l'humour ou du second degré - MANIAQUE - Aime les plantes et les voitures (vroum vroum) - Déteste son prénom et se dispute très souvent avec sa mère à ce sujet - ISTJ-A
Description
Physique
Très grand (1m99) – Métisse japonais & français – Crispé - Sportif
Cassandre est quelqu’un qui n’aime pas se faire remarquer. Vraiment pas de chance ; avec son mètre quatre-vingt-dix-neuf, on le voit débarquer à des kilomètres à la ronde. C’est simple. Il côtoie les encadrements de portes (aïe), les plafonniers (ouille), aucun siège n’est adapté à ses dimensions et on peste contre lui au cinéma.
Si elles sont également le fruit de sa personnalité, ses manières crispées nous révèlent qu’il n’est pas à l’aise dans son propre corps. Il ne sait pas quoi faire de ses bras et de ses jambes… Solution ! Les garder le long du corps et se tenir droit comme un piquet. Si l’occasion s'y prête (autrement dit, si le stylo posé sur son bureau est à 85° plutôt que 90°), il tritura (rangera) volontiers les objets qui l’entourent.
Cassandre est franco-nippon et à un visage tout ce qu’il y a de plus oubliable : « Insipide. » Seraient ses mots. En effet, il n’est ni beau, ni laid. Pour parler franchement, personne ne lui accorderait la moindre attention s’il n’était pas si grand et si…lui....
Seule excentricité : des boucles d’oreilles : « Cadeau pour toi ! Elles te vont super bien ! » Cette personne a beau avoir quitté sa vie, les bijoux sont restés. C’est un grand sensible voyez-vous et il ne compte pas les enlever de sitôt.
Cependant, que serait un inspecteur du travail sans sa petite panoplie du fonctionnaire bien chiant ? Pour lui, la question ne se pose pas, le costume est toujours de rigueur. (Le vouvoiement aussi) Bien, oui. La cravate est optionnelle lorsqu’il se relâche un peu.
Les jours de repos dîtes-vous ? Lorsqu’il sort, cet homme issu de bonne famille conserve une apparence vieux riche. Quoi qu’il possède tout de même plusieurs sweats, shorts et tenues pour la maison. Pour finir, Cassandre est un homme qui prend soin de lui. Si l’on ignore bien-sûr la dose inhumaine de café qu’il ingère et son passé de fumeur.
Il porte un soin particulier à son hygiène et veille à rester actif. (Veuillez noter que NON, Cassandre ne rediscutera pas les décisions prises vis-à-vis de votre établissement si vous le croisez à la salle).
Caractère
Obsessionnel – Strict – Franc – Réservé – Maladroit –
Intimidant et froid, Cassandre est connu pour son sens aigue de la justice et son respect quasi-absolu des règles :
« Madame, la réglementation est claire. Si le port des gants n’est pas obligatoire, le lavage des mains, lui, doit durer entre 15 et 20 secondes. Le vôtre n’a duré que 12 secondes. C’est un non-respect flagrant des règles d’hygiène. Oui, j’ai compté. Ne pleurez pas. C’est mon métier. »
En d’autres termes, personne ne souhaite la venue impromptue de l’inspecteur sur son lieu de travail. Avec un sens du détail absolument maladif, il relève chaque imperfection : « Votre affiche incendie n’est plus aux normes. De plus, elle est cornée. Une entreprise de votre taille devrait avoir honte. »
Il faut dire qu’il est intimidant. Oh oui, il ne plaisante pas, ne mâche pas ses mots, n’est ni achetable ni impressionnable. C’est un acharné à qui la notion de vacances est étrangère. Il ne compte plus les heures supplémentaires. Après tout, l’essentiel reste que le travail soit fait. Et correctement. Ce perfectionniste tient le travail bâclé en horreur. Il méprise les tire-au-flanc et se méfie de tous ceux qui se dérogent aux règles, de près ou de loin : « Cet anneau autour du nez, nous ne sommes pas au salon de l’agriculture. »
Mis de côté sa franchise absolument blessante, son obstination est sans doute son trait de caractère le plus agaçant. Il n’abandonne pas, il ne sait pas faire. Si un rapport doit être rendu à 18h ou s’il décide de n’en faire qu’à sa tête, tsunami, tempête ou prise d'otage ne sauraient l’en empêcher. Oui. Car l’inspecteur du travail est un animal pressé. Toujours. Tout le temps. Mieux vaut ne pas le croiser au détour d’un couloir : « Ôtez-vous de mon chemin. Je ne vous ai pas bousculé, vous m’êtes rentré dedans. »
De plus, Cassandre s’agace très facilement, il tique, lève un sourcil, hausse le ton et coupe la parole pour vous empêchez de lui faire perdre son temps. Inspecteur du travail… c’est une vocation. Quelqu’un doit bien se soucier de sa ville natale, Shorefield et quoi de mieux qu’un obsessionnel de presque deux mètres de haut ?
Vous l’aurez compris, aux yeux de presque tous, c’est un homme strict, ennuyeux et aigri.
Et pourtant, sensible, timide, maladroit et juste sont autant de mots qui le définissent. Cassandre est avant tout un homme qui ne comprend plus les autres et qui n’est pas compris des autres. Il blesse lorsqu’il pense faire plaisir, intimide quand il se veut rassurant. Tout cela, bien évidemment, sans en avoir la moindre idée. Ce n’est alors que lorsque son entourage disparaît soudainement qu’il comprend qu’il à peut-être faire une boulette.
C’est un grand timide : « Faire la conversation ? Non. Non. Qu’est-ce que je pourrais lui dire de toutes façons ? ‘Les pucerons naissent en étant déjà gestants.’ NON. C’est un échec. Bien, partons. Et vite. » Il préfère ainsi longuement observer son entourage plutôt que de s’y mêler, par peur de commettre des impaires. Ne parlons alors même pas des relations amoureuses : « Je n’ai rien à vous dire. » Traduisez par : « Je suis terrifié à l’idée de vous adresser la parole. »
Il a de nombreuses passions inavouables. C’est un amoureux des chiens, un geek et…il l’aime les plantes. Je répète : Il AIME les plantes. Serre ou jardin botanique, on se demande parfois où l’on vient de mettre le pied lorsque l’on passe la porte de son bureau. Pour un homme tel que lui, l’amour des plantes ne peut signifier que deux choses :
A. Vous avez plutôt intérêt à prendre soin des vôtres où elles vous seront confisquées. Oui, le respect de nos amis les plantes n’est pas inscrit dans le code du travail, mais tout de même…un peu d’humanité… !
B. Elles ont chacune un nom et il leur parle. La solitude lui pèse, il faut croire, même s’il le niera catégoriquement.
Malgré les apparences et une bisexualité au placard (du moins, pour ses parents) Cassandre reste le rebelle de la famille. Un rapide coup de fil avec sa mère pourra vous le confirmer. (Pas médecin ou avocat, pas marié, des hobbies stupides)
Par ailleurs, les règles ne comptent que parce qu’elles ont un sens et servent le bien commun. Néanmoins, il place ses idéaux au-dessus de ces dernières. Par conséquent, toute loi qui irait à l’encontre de ses principes sera ignorée. Purement et simplement. (Heureusement pour lui, il y en a, de son point de vue, pas beaucoup)Histoire
TW : Homophobie
Originaire de Shorefield, Cassandre est un enfant issu de bonne famille. Sa mère sénatrice et son père chercheur l’ont toujours inscrit dans les meilleures institutions de la ville. Il a été élevé dans un environnement traditionnel et conservateur. Il a toujours été très proche de son ami d’enfance, et ils ont fréquenté les mêmes établissements.
***
« Tu me dégoûtes. »
Ses grands yeux noirs me fixent. Je pensais y trouver de la tristesse ou de la colère, mais rien de tout ça. Le visage de mon ami n’est empreint d’aucune émotion. Moi-même, j’ai l’impression d’être spectateur de la scène. Mon corps ne m’appartient plus. Une rage et une aversion que je ne soupçonnais pas bout dans mes veines.
Nous sommes amis, mais rien de plus. Les œillades complices, les années de primaire et de collège passées à te suivre dans tes idées les plus folles et mes efforts pour t’aider à rentrer dans ce lycée coté n'y font rien. Nous sommes proches, mais c’est ici que je trace la limite.
Un coup pour l’envoyer contre le mur et l’éloigner de moi. Ça ne me ressemble pas. Reprends-toi Cassandre, ce ne sont pas des manières. Son manque de réaction ne fait qu’attiser ma fureur. J’ai déjà quelqu’un, c’est une fille bien et je ne voudrais pas qu’elle se fasse de fausses idées. À une époque où j’étais entouré et toi non, te tourner le dos me posait très peu problème. Tête de classe, admiré des professeurs, promis à un grand avenir... j’ai trop à perdre. Je prends une inspiration pour calmer mes nerfs à vif :
« Rentre chez toi. Tu es fatigué, tu te sentais seul, oublions cette soirée. »
Le coin de sa bouche s’agite. Un sourire ? Une grimace ? Je ne sais pas trop. Les autres m’avaient prévenu : ‘Haha, tu aurais dû voir sa tête quand on se changeait dans les vestiaires, à mourir de rire, il était tout rouge.’
« La façon dont tu me regardes… ça me met mal à l’aise. »
Sa main qui s’attardait un peu trop sur mon avant-bras, ses crises de jalousie... Lorsqu’ils verront que je me suis enfin débarrassé de lui, je leur rapporterai cette conversation. Ils comprendront. Mieux que ça, ils approuveront: ‘Il vient chez toi quasiment tous les soirs, on ne passe même plus de temps ensemble ! Admets que ça prête à confusion.’ Oui, pour l’aider avec ses devoirs, Jeanne, rien de plus. Oui, je te jure, je ne le referai plus.
Et pourtant, tu es là, chez moi, et tu leur donnes tous raison.
« J’essayais simplement d’être gentil avec toi. »
Toujours seul, parce que toujours trop. Trop en colère, trop bruyant, trop survolté. Ma sympathie a été confondue pour de l’amour.
« Et puis j’ai déjà quelqu’un. »
Cette fois, il baisse la tête. Je sais qu’il retient ses larmes, j’ignore mon ventre qui se tord. Il n’y a rien d’autre à faire. Il n'y a de toutes façons pas de bonne réponse.
Le lendemain et les jours suivants, j’ai eu beau étaler mon mépris et l’ignorer, la rumeur courrait déjà : ‘Jeanne m’a dit qu’elle préférait en rester là, tu as brisé ta promesse.’ Comment lui expliquer que c’est lui qui s’est imposé chez moi ? Bah... j’imagine que les premiers amours ne durent jamais vraiment.
'C’est que tu n’as rien fait pour le dissuader pendant tout ce temps, on pourrait croire que...' grinçaient les autres. Je ne l’ai pas encouragé non plus ! Bref, je suppose que mes amis n’en étaient pas vraiment. J’essaie de créer de nouveaux liens, mais je n’échappe plus aux commérages. Certains grossis et je n’ai aucune façon de prouver ce qu’il ne s’est jamais produit entre les murs de ma chambre.
‘Monsieur Roy… pas la peine de venir demain, nous avons trouvé quelqu’un d’autres pour représenter l’école pour le concours d’écriture poétique. Eh bien, toutes ces histoires qui courent à votre sujet, ce n’est pas très bon pour l’école.’ Les professeurs aussi donc… ? Ces traîtres. Tous plus hypocrites les uns que les autres.
Un midi, je scrute la cantine, chacun bien installé. Je me tourne vers toi. Un an s’est écoulé, je ne suis plus le garçon populaire que j’étais autrefois. Ils étaient tous stupides, tu avais raison. Je fais un pas en ta direction et c’est un autre homme que je vois à tes côtés. J’ai l’impression d’avoir été poignardé en plein cœur. Je sais que je le mérite.
Arrivée à l’université, les choses ont empiré. Jusqu'à présent, je n’avais jamais eu trop à faire pour sociabiliser. Être le fils d’une sénatrice et d’un père chercheur était suffisant pour des gosses de bonnes familles. Discuter est compliqué, je suis devenue plus taciturne. Il n’y avait que mes études en droit qui comptaient. Pas le temps de m’intéresser aux autres.
« Cassandre ? C’est toi ? Tu as vraiment une sale tête ! »
Je l’ai recroisé des années plus tard, juste après l’obtention de mon diplôme.
«Je n’avais pas réalisé que j’étais devenu si… »
« Aigri ? »
Ses mots m’ont choqué, mais je ne pouvais pas vraiment le nier. Une vie sociale maintenant inexistante, une dépression que je me traînais depuis six ans. Lui avait bien changé. Un style très excentrique. Ca lui allait bien. Il avait toujours voulu porter ce genre de vêtements, sans jamais vraiment oser. On traînait tous les deux sur des sites de shopping, remplissant le panier sans jamais acheter quelque chose. Ma gorge se serre :
« Écoute, je suis dés- »
Il secoue vivement la main et balaie mes excuses :
« On est tous un peu con quand on est ado. Te fais pas de bile, tu viens prendre un verre ? »
J’ai l’impression que tout va redevenir comme avant. Je suis soulagé. J’accepte sa proposition. Une chose en entraînant une autre, lorsque je passe la porte de son appartement, je suis bien obligé d’admettre tout ce que j’ai toujours voulu réprimé. Blottis contre lui, au milieu de ses draps, je ris en repensant à ma propre stupidité. L’adolescent que j’étais s’est gâché la vie pour une bête histoire de réputation.
Malgré tout, la rancœur ne t’as pas abandonné et c’est sans ménagement que tu m’invites à quitter les lieux, m’expliquant au passage que je te dégoûte et que passer cette nuit avec moi, c’était un peu comme faire de la charité :
« Il fallait te voir avec ta tête de chien battu, tu te serais jeté sur n’importe qui juste pour un peu d’attention. Tu ne pensais quand même pas que j’allais te pardonner ? »
Le message est passé.
Shorefield reste ma ville natale, lui l’a quitté. Et ce n’est sans doute pas plus mal.
Derrière le personnage
Hello ! Moi c'est Matcha (elle) ! J'aime beaucoup rp, inventer des persos. J'ai un rythme de rp plutôt lent, donc comme ça vous êtes prévenus ! Car à côté je m'amuse à apprendre le japonais, dessiner et je fais pas mal de sport ! Sinon je suis passionnée par les langues. Cassandre est un personnage que j'ai déjà joué sur un autre forum, je l'adore c'est mon bébé, et je voulais le rejouter sur un forum joli (j'aime le design) et sans prise de tête ! Je ne sais pas encore ce que je vais faire de lui, mais je sais que ça sera drôle.
Accueil
BA ALORS CASSANDRE ? Grillée par le maire 🫵 qsduihqsdiu 
(ça me rassure de voir que t'es tête en l'air parce que je suis la première pour tout lire de travers. J'ai besoin de lire un RP 2 fois avec 24h d'intervalle si je veux être sûre de pas répondre à côté de la plaque, c'est terrible)
Je vois d'ici toutes les situations improbables qui vont lui arriver ici Shorefield 
contre-productif 
.............Ah hahah 
Voire pire, à le baby casser 
