Bae Jun KangMais si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre

Profil

Sexe/GenreHomme cis
Date de naissance (Age)6 juin 2000 (23 ans)
OriginesCoréennes
NationalitéAméricaine
GroupeRaccoon
Métier ou ActivitéÉtudiant en Master Création Littéraire
OrientationBisexuel
Est à Shorefield depuis...2000
Avatar illustréGo Eunhyuk de True Love Operation
Avatar réelWoo Do Hwan

À côté de ses études et pour aider une amie de sa mère, il travaille dans un restaurant-grill coréen de son quartier 2 soirs par semaine • Il est auteur d'un BL érotique plébiscité sur Lezhin Comics, son nom de plume est Bunny ❀ Mochi, la sortie de nouveaux chapitres est parfois très lente, mais ça n'atténue pas la célébrité du comics • Il adore les lapins, il en a d'ailleurs adopté deux : Pierre & Benjamin • Il est atteint d'un diabète de type 1 depuis tout petit. Il a donc toujours un stylo à injection, des aiguilles stériles et un lecteur de taux sur lui. Il s'injecte une à deux fois par jour un traitement à analogue lent. Depuis son diagnostic, il a un régime équilibré régenté par sa mère et il désespère de ne pas pouvoir manger aussi gras et sucré qu'il le voudrait • Il fait parti de l'équipe de volley-ball de son université et joue à un niveau régional • Son père est professeur de philosophie à mi-temps à l'université USCN, ses sujets de prédilection sont évidemment le bouddhisme et le confucianisme. Sa mère elle, ne parle presque pas anglais et vend des bougies, des talismans et de l'encens au temple • À la maison, il ne parle que coréen • Il a prit une année sabbatique durant laquelle il est parti plusieurs mois en Corée chez des cousins, là-bas, il y a fait entre autre la rencontre de Quinn, mais aussi la rencontre d'un Chaebol qui a flashé sur lui • Il adore tout ce qui est kawaii et se rend régulièrement dans des pop-up store • Il aime particulièrement danser sur de la funk et du disco

Description

Physique

Avez-vous déjà entendu le proverbe : ne pas juger un livre à sa couverture ?

Cette expression, si commune, convient parfaitement à Bae Jun Kang et il vous faudra bien plus qu’un seul regard pour l’appréhender parfaitement.

Si vous le croisez au détour d’un couloir de la fac, il ne vous provoquera pas un émoi fulgurant. Bien au contraire, il risque même de passer totalement inaperçu dans votre champ de vision. En effet, ses polos à manches longues ou courtes, aux couleurs monotones, ses joggings, pantalon à pinces et jeans, aux couleurs sombres, n’attirent pas le regard, mais lui confèrent une apparence discrète. La partie inférieure de son visage est souvent dissimulée sous un masque chirurgical, une habitude qu’il partage avec ses pairs de la région du soleil-levant. Sauf exception, il ne découvre son minois qu’au gymnase, là où l’agitation demande une plus grande quantité d’air.

Grand garçon d’un mètre quatre-vingt-deux, c’est un sportif aguerri et joueur en ligue régional de volley-ball. De ce fait, il possède naturellement une bonne endurance physique et une forme tonique, sans toutefois paraître imposant. De larges épaules qu’il exploite au jeu de ballon, des jambes et des cuisses fuselées et un fessier rebondi pour les sauts et les sprints, mais aussi un ventre dessiné par le gainage.

D’origine coréenne, il a la peau d’un blanc mat, à qui le soleil donne des tons de miel s’il ne se couvre pas. Ses iris d’un onyx perçant, s’accordent parfaitement avec ses cheveux noirs et ondulés. Ses yeux de biche, en amande, sont surmontés par de larges paupières, qui légèrement closes, lui donnent un air détaché ou un regard de braise ; l’interprétation dépend de la sensibilité de chacun. Ses sourcils, d’abord large sur le coin interne, s’affinent peu à peu jusqu’à disparaître au-dessus du coin externe de l'œil. Ils dénotent la désinvolture et expriment plutôt un air penaud, parfois même concerné. Enfin, les deux grains de beauté alignés verticalement au-dessus de son sourcil droit inspire la coquetterie.

Loin de la fac, du quartier familiale et des conventions, Bae luit d’une lumière nouvelle. Il troque les vêtements ternes contre des t-shirts pluricolores, aux messages powerful et aux citations édulcorées. Il habille ses oreilles et ses cheveux d’accessoires kawaii, aux tons pastels et acidulés. Son apparence accroche bien plus de regard, mais il ne s’en offusque pas. Son pas est léger, ses mouvements sont fluides et son attitude décontractée invite à le coudoyer.

Caractère

La plupart du temps, Bae est un garçon qui se fait très discret. Il n’est pas rare qu’il vous surprenne en apparaissant subitement dans la même pièce que vous, ce qui lui a déjà valu une bonne paire de coups. Principalement à l’écoute et observateur, il apprécie tout de même diriger la conversation et sa curiosité le pousse à s’épancher sur un tas de sujets différents. Quand il s’exprime, il le fait toujours avec douceur et sa voix de baryton peut s’avérer plutôt apaisante. Même son rire est discret, comme retenu avec pudeur. Malgré tout cela, Bae ne manque pas de caractère, ni de volonté, il s’agit tout simplement d’une force tranquille.

C’est un garçon facile à approcher, qui s’ouvre rapidement et à l’énergie parfois nonchalante. Il apprécie particulièrement les activités de groupe et ne refusera jamais une invitation, à moins qu’il ait déjà d’autres plans. ll tient à son image et à sa réputation alors il essaiera toujours de faire bonne impression, c’est primordial. Cette volonté s’explique par son inquiétude que l’on découvre ses secrets et qu’ils soient exposés au grand jour. C’est aussi pourquoi il évitera un maximum d’être au centre de l’attention. Ceci dit, il ne crache pas sur un peu de lumière, un boost d’assurance reste agréable.

Son humeur n’est jamais changeante et si c’est le cas, il s’est forcément passé quelque chose dans sa journée pour l’expliquer. Sensible, il est également doté d’une grande patience, ce qui lui attire souvent les confidences des autres, devenu une véritable figure de confiance. De par son éducation, il est prévoyant, méthodique et organisé, ses journées de fac suivent toujours une liste bien précise de tâches et lorsqu’on lui impose un choix, il va naturellement vouloir suivre sa raison plutôt que son cœur.

Il a la chance de bien réagir face à la pression, il reste calme, sûrement grâce à la compétition, mais aussi à son cadre familial très exigeant. Pour autant, une petite erreur peut le faire douter sur ses capacités, un aspect qu’il dissimule tant bien que mal.

Au fond, Bae cache un grain de folie et parfois, souvent au contact d’amis de confiance, il laisse sortir le mister hyde. Il s’est découvert un côté imaginatif et créatif, qu’il a le courage de défendre dans une filière en création littéraire. Aventurier et explorateur, il apprécie l’adrénaline et les nouvelles expériences, il pousse le bouton de la raison sur OFF et se lance des défis trépidants, voire dangereux, mais ils lui donnent l’impression d’être vivant, de libérer l’enfant qui réside toujours à l’intérieur. C’est dans ces moments souverains, qu’il ne peut se retenir de rire aux éclats, mêlant à ceux de ses amis, des fracas aigus et contagieux.

Histoire

La première fois que Bae-Jun a accompagné sa mère au marché pour vendre les bougies et talismans du temple, il n’était encore qu’un poupon dans son landau. Young-Soon, était arrivée de Corée à peine un an avant de donner naissance au garçon. Elle avait rejoint Tae-Jun Kang, un charmant érudit dont la famille s’était installée à Shorefield depuis deux générations. Comme Young-Soon peinait énormément avec l’anglais, elle était accompagnée d’une voisine bilingue, toutes deux très impliquées au sein de la communauté coréenne et bouddhiste de la ville, rien d’étonnant à ce qu’elles s’entendent comme larrons en foire.

Cette implication et cette discipline furent très vite transmises à Bae, qui a à peine six ans restait assis derrière la table de stand sans geindre et sans sourciller. Véritable petite main d'œuvre, il aidait sa mère à tresser des talismans, à communiquer avec les clients et du haut de ses 1 mètre 20, il concluait même parfois des ventes. Dans ses prières, Young-Soon remerciait régulièrement Bouddha de l’avoir béni d’un enfant aussi facile à élever, qui ne rechignait presque jamais, même s’il sacrifiait journalièrement son temps de jeu pour des activités bien plus barbantes.

•••

Parfois, la vie nous impose une doctrine que tous suivent aveuglément, sans pour autant que l’on comprenne ce qui donne à cette règle sa légitimité. Bae se souvient sans aucune difficulté de la première fois qu’il a constaté ce fait, mais aussi de la longue liste des fois suivantes, toujours aussi désarmantes.

Avachi dans le caddie de course, Bae attrape du bout des doigts un kit de confection de bracelets pastel. Immédiatement, sa mère, sans aucune délicatesse, lui jette un regard désapprobateur.

“Non Bae-Jun, c’est un jouet pour fille.”

Immédiatement, l’engouement du garçon se dissipe.  

“Pourquoi ?”
Ose-t-il demander, d'une voix hésitante.

“Repose-moi ça, c’est comme ça et c’est tout. Tu peux prendre un dinosaure si tu veux.”

Perturbé, le garçon s'exécute sans broncher. Pourtant, en observant les deux yeux carnassiers du tyrannosaure, il lui semble se faire traquer par une bête invisible. Une bête de conformité et de convenance qui ne s’explique pas.

•••

À peine rentré de l’école primaire, l’asiatique monte dans sa chambre à grandes enjambées. Il doit vite finir ses devoirs, comme ça, il pourra rejoindre son meilleur copain de l’école, Josh, avec lequel il joue aux pirates, aux aventuriers et parfois même au prince et au chevalier. Bae est content, parce que Joshua le laisse jouer le rôle du prince charmant sans ronchonner.

Bae-Jun montre son exercice de grammaire à son père, les lunettes qu’il porte sur le bout du nez accentuent son air austère, les sourcils haussés, il rend rapidement le cahier à son fils en hochant la tête.

“Parfait, tu as d’autres devoirs ?”

“Non, c’est tout. Est-ce que je peux sortir voir Josh ?”

L’expression de son père se renfrogne, comme si un souvenir désagréable remontait subitement à la surface.

“Il s’agit du garçon qui est venu avec sa mère à la réunion des parents-professeurs ?”

Circonspect, mais aussi intrigué, Bae confirme d’un hochement de tête.

“À partir d’aujourd’hui, je ne veux plus que tu le fréquente.”

“QU-quoi ? Mais..pourquoi ?”
D’abord intense, Bae retient son irritation à quoi il préfère une attitude abattue.

“J’ai constaté que ses parents ne sont pas des personnes convenables. Il est hors de question que tu sois victime d’une influence néfaste.”

Bae pince ses lèvres pour retenir un sanglot, il s’apprête à se relever pour filer dans sa chambre, mais son père, loin d’être dupe et insensible à la détresse de son fils, pose une main affectueuse sur sa chevelure.

“Tu es un gentil garçon Bae-Jun, tu te feras d’autres amis.”

Docile, le garçon acquiesce d’un mouvement de tête. Pourtant, rien de ce que son père ne vient de dire n’est d’un moindre réconfort lorsqu’en regardant par la fenêtre de sa chambre, il croise le regard de Josh devant qui, sans aucune explication, il se contente de fermer le store.

•••

Bae entame sa deuxième année de collège quand il remarque une dissonance déroutante de sa personnalité.

Tous les jours après le déjeuner au self Bae-Jun s’installe à l’extérieur, en face du terrain de sport. À côté de lui, un groupe de filles fait mine de jouer aux cartes, mais en réalité, elles s’amusent à échanger des potins et des remarques sur un groupe de garçons qui jouent au basket et plus précisément sur Marlon, le nec plus ultra de l’établissement.

“Il a mis son débardeur aujourd’hui ! Regardez..vous trouvez pas qu’il a pris des biceps ?”

Le groupe glousse joyeusement, Bae ne s’en rend pas compte, mais lui aussi observe le prépubère avec attention, l’une des gamine enchaîne sans attendre :

“Dommage son short est large, Jade a entendue par Lola qui l’a elle-même entendue par Romain qu’il a un gros paquet.”

“Je confirme !”
Laisse échapper Bae, le sourire qui étire ses lèvres s’estompant rapidement lorsque les rires du groupe voisin s’arrêtent, remplacés par des regards consternés.

“T’es qui toi ? T’aimes les mecs ?”

Bae s’empresse de contredire la jeune rumeur.

“Non pas du tout, Romain me l’a dit à moi aussi, c’est tout. Peut-être que Romain aime Marlon lui.”

“Ah ouais…pas bête.”

Une fois le pire évité et les jeunes filles à nouveau concentrées sur le beau Marlon, Bae s’éclipse, effrayé, mais aussi honteux. Honteux d’avoir jeté un garçon innocent aux loups, mais aussi honteux d’avoir eu un regard un peu trop curieux, un peu trop avide sur un camarade du même sexe que lui.

Sur le retour de l’école, troublé et perturbé, il décide de se confier à sa maman..peut-être qu’elle saura le rassurer, lui expliquer que ça n’a rien d’anormal.

En rentrant, il prend directement la direction du salon dont la porte est déjà entrouverte et il entend, sans le vouloir, une conversation entre ses parents. Ils discutent du fils des voisins, ils viennent d’apprendre qu’il est homosexuel.

“Pauvre madame Min, ça doit vraiment être dur à vivre.”

“Je n’ose pas imaginer comment ils doivent se sentir, surtout maintenant que tout le monde le sait.”

Ce soir-là dans son malheur, Bae-Jun se considéra chanceux.

•••

“Bae-Jun, tu es sûr de vouloir prendre cette direction ? Je pensais t’avoir élevé plus responsable que ça.”

“Oui papa, j’en suis certain et tu ne me feras pas changer d’avis. Je suis doué, tu as vu les recommandations de mes profs ? Tu es même allé les voir..”

Tae-Jun pousse un soupir et passe une main agacée sur son front.

“Je m’inquiète simplement pour toi, j’ai peur que tu fasses le mauvais choix.”

“C’est gentil papa, mais je t’assure que je vais y arriver. ”

“Depuis quand es-tu si borné ?!”
S’emballe un peu monsieur Kang, déconcerté par la ténacité de son fils. Une ténacité à laquelle il n’a jamais été confronté.

“Tu sais qui devra consoler ta mère si ça ne fonctionne pas ?”

Bae se sent faiblir, doit-il encore une fois se conformer à la décision de ses parents ? Non, pas aujourd’hui. Aujourd’hui, il va aller jusqu’au bout. Aujourd’hui, il fera ce qui lui plaît. Son regard, assuré, ne quitte pas celui de son père.

“Je ne changerais pas d’avis papa, vous serez tous les deux fiers de moi.”
Dit-il, une traître amertume lui vint directement en bouche après ses mots.

“Tu aurais toutes tes chances en droit ou en médecine, la littérature...tu n’as presque aucune chance d’être un auteur de talent, tu en es conscient ?”

Bae-Jun ne perdit pas le combat ce soir-là, mais il comprit que l’affection de son père était empoisonné par la peur de le voir devenir un raté. Ce constat n’arrangea en rien la pression déjà monstrueuse de satisfaire les ambitions de ses parents. Néanmoins, il fit le choix du chemin difficile, mais aussi du chemin passionnant : celui de la création littéraire.

•••

Dans le jardin de ses cousins, Bae-Jun se prélasse, bercé par le chant des cigales. Son père n’a pas approuvé son choix de prendre une année sabbatique, mais il l’a encouragé à venir s’installer chez ses cousins en Corée, le temps de quelques mois pour mieux connaître son pays d’origine.

Sorti de son quotidien, Bae se sent bien, délesté d’un poids. Des milliers de kilomètres le séparent de ses parents et il ne se souvient plus s’être senti aussi détendu depuis longtemps.

“Eh bien, tu roupilles à longueur de journée ?”
Lui dit sa tante, amusée.

“Mon frère et ma belle-soeur te font t-ils travailler si dur que tu as besoin de six mois de sommeil pour t’en remettre ?”

Bae rit et lance un regard complice en direction de sa tante.

“Tu n’as pas idée !”

Elle fait mine de s’offusquer et donne une petite tape sur son épaule.

“Ils se sont bien gardés de me dire que tu pouvais être insolent !”

Un petit silence s’installe, rythmé par le bruit des grappins.

“Ils sont très fiers de toi… Tu sais que ton père filme tous tes matchs ? Il nous oblige à les regarder à chaque fois qu’il vient..la dernière fois, il a même emmené ta composition écrite, même les voisins ont dû la lire. Il répète à tout bout de champ que tu es sa plus grande réussite.”

Trop sensible, tes sclères sont voilés par une fine couche de larmes. Souvent, tu te sens emprisonné, tu te sens victime, tu te sens étouffé, opprimé par les attentes de Young-Soon et de Tae-Jun Kang. Tu sais qu’il y a un décalage entre vous, un décalage qui fera l’effet d’une bombe lorsqu’il s’étalera au grand jour, un décalage que tu n'arrives plus à étouffer aussi bien qu'avant. Tu es effrayé à l’idée qu’ils aient honte, qu’ils aient peur et te méprisent. Et tu sais que si tu as si peur, c’est parce qu’ils t’ont toujours porté.

Quand tu es tombé malade du diabète, ils étaient là. Ta mère et ton père ont changé tous les menus de la maison rien que pour toi.

Quand tu tombes et te cogne, encore aujourd’hui, ils mettent du curcuma sur tes bleues, comme si tu n’étais pas assez grand.

Quand tu te prépares à un examen, ton père t'aide à réviser et t’encourage à te surpasser.

Quand il y a un jour de fête, ils veulent absolument être à tes côtés.

Ils ne ratent jamais une compétition, jamais un match, jamais une dispute sportive. Ils sont toujours dans les gradins pour t’encourager.  

Quand tu remportes la victoire, eux aussi remportent la victoire.

C’est bouleversant quand l’amour inconditionnel se confronte paradoxalement à une rigueur inflexible.

Derrière le personnage

Hello guys ! J'espère que si vous en êtes arrivé là, c'est que vous avez apprécié le contenu plus haut
J'me surnomme Kanaï, c'est un surnom trompeur parce que j'suis gentille comme un coeur
Sinon j'aime bien boustifailler, passer du temps avec mes copaings et encore pleins d'autres choses
N'hésite pas à venir me voir en mp si tu veux papoter ou qu'on collabore ensemble pour un lien, la porte est grande ouverte !

Formulaire pour annuaire:

BAE MA VIE A DIT a écrit:Il travaille dans un restaurant grill coréen de son quartier 2 soirs par semaine

BAE MA VIE A DIT a écrit:Il est auteur d'un BL érotique plébiscité sur Lezhin Comics

BAE MA VIE A DIT a écrit:Il a prit une année sabbatique durant laquelle il est partie plusieurs mois en Corée chez des cousins, là-bas, il y a fait entre autre la rencontre de Quinn

Spoiler:

TOUT CE QUI EST SILENCIEUX CRIERA POUR ÊTRE ENTENDU, EN SILENCE.

Il est auteur d'un BL érotique plébiscité sur Lezhin Comics, son nom de plume est Bunny Mochi

Il adore les lapins, il en a d'ailleurs adopté deux : Pierre & Benjamin

Il est dans une équipe de volley et joue à un niveau régional

Il a prit une année sabbatique durant laquelle il est partie plusieurs mois en Corée chez des cousins

Il troque les vêtements ternes contre des t-shirts pluricolores, aux messages powerful et aux citations édulcorées. Il habille ses oreilles et ses cheveux d’accessoires kawaii, aux tons pastels et acidulés.

Il est auteur d'un BL érotique plébiscité sur Lezhin Comics, son nom de plume est Bunny ❀ Mochi

À la maison, il ne parle que coréen

En effet, ses polos à manches longues ou courtes, aux couleurs monotones, ses joggings, pantalon à pinces et jeans, aux couleurs sombres, n’attirent pas le regard, mais lui confèrent une apparence discrète.

Il troque les vêtements ternes contre des t-shirts pluricolores, aux messages powerful et aux citations édulcorées. Il habille ses oreilles et ses cheveux d’accessoires kawaii, aux tons pastels et acidulés.

. Dans ses prières, Young-Soon remerciait régulièrement Bouddha de l’avoir béni d’un enfant aussi facile à élever, qui ne rechignait presque jamais, même s’il sacrifiait journalièrement son temps de jeu pour des activités bien plus barbantes.

“Repose-moi ça, c’est comme ça et c’est tout. Tu peux prendre un dinosaure si tu veux.”

Perturbé, le garçon s'exécute sans broncher. Pourtant, en observant les deux yeux carnassiers du tyrannosaure, il lui semble se faire traquer par une bête invisible. Une bête de conformité et de convenance qui ne s’explique pas.

“J’ai constaté que ses parents ne sont pas des personnes convenables. Il est hors de question que tu sois victime d’une influence néfaste.”

“Depuis quand es-tu si borné ?!”
S’emballe un peu monsieur Kang, déconcerté par la ténacité de son fils. Une ténacité à laquelle il n’a jamais été confronté.

Néanmoins, il fit le choix du chemin difficile, mais aussi du chemin passionnant : celui de la création littéraire.

“Ils sont très fiers de toi… Tu sais que ton père filme tous tes matchs ? Il nous oblige à les regarder à chaque fois qu’il vient..la dernière fois, il a même emmené ta composition écrite, même les voisins ont dû la lire. Il répète à tout bout de champ que tu es sa plus grande réussite.”

Trop sensible, tes sclères sont voilés par une fine couche de larmes. [...] C’est bouleversant quand l’amour inconditionnel se confronte paradoxalement à une rigueur inflexible.